Départ habituel parking de la gare de Bonson samedi 4 juin à 8 H 45

16 motos, 24 personnes au départ plus 1 qui nous rejoindra plus tard à l’heure de l’apéro

Corinne et Serge auraient du également faire partie du voyage, mais Corinne ayant eu un petit incident (entorse), ils nous ont rejoints en voiture le soir à l’hôtel, il faut dire qu’étant Drômois, ils auraient bien aimé être avec nous en moto.

Et nous voilà partis en espérant ne pas avoir l’occasion d’enfiler nos combines de pluie.

Traditionnelle pause café à BEAUREPAIRE

Arrêt à GRENOBLE pour faire le plein et attendre le retardataire qui se fit tellement attendre que l’on décida de continuer jusqu’au COL DE l’ARZELIER pour le pique-nique de midi.

COL DE L’ARZELIER

Casse-croûte terminé, café bu et vessies vidées et toujours rien en vue, JOSEPH réussi à le joindre par téléphone, EUREKA il sera là dans un quart d’heure.

  Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage

Tic-tac, tic-tac, un quart d’heure, a-t-on pensé à l’éventualité qu’il pouvait sa perdre en route ?

Enfin notre messie arriva sur sa belle rouge tout souriant, he oui il s’agissait de notre barde MARTINIX.

Vlà t’y pas qu’il n’avait pas mangé, on a du alors encore patienter un peu le temps qu’il grignotte un biscuit avant de partir. Ouf, on repart.

Les nuages devenant menaçants, on a préféré prendre nos précautions et enfiler les combines.

arrêt au cirque d’ARCHIANE

Stop, on a soif, on s’arrêta donc à CHATILLON EN DOIS et on en profita pour quitter nos combines car on commençait sérieusement à avoir chaud.

   Le patron, qui n’était guère souriant, a eu des sueurs froides quand Martinho, encore lui, eu la bonne idée de se servir avant que le plateau ne soit posé sur la table, on a frôlé l’incident diplomatique.

 ce qui lui valut le bonnet d’âne.

20 kms plus loin, nous arrivâmes à DIE où chacun rejoignit sa chambre pour prendre une bonne douche avant de commencer les choses sérieuses.

Nathalie fut la grande gagnante du week-end en ayant deux colocataires dans sa chambre, Robert et Joseph, petite veinarde !

Et comme le temps était toujours incertain, Nathalie et Thierry, pour nous remercier de les avoir accueilli au sein du moto-club, et je vous assure ce n’est pas une mince affaire, ont décidé de nous offrir l’apéritif dans leur propre chambre. Depuis cette chambre a été rebaptisée, elle s’appelle dorénavant la chambre des orgies.

Comment emballer les gonzesses à la façon FAYASSON ?

  vous lui saisissez le visage d’une main ferme et décidée

 et voilà, c’est dans la poche,

 facile non ?

 Coucou Josette, t’inquiètes pas je m’occupe de SERGE.

Après nous redescendîmes discrètement dans la salle de restaurant pour le dîner, repas délicieux entre parenthèse, « chapeau au patron ».

Alors là, devinez quoi, si demain nous n’avons pas une goutte de pluie, on aura de la chance, ce fut un véritable capharnaüm.

Nous avons eu notre bien connu et réputé Martinix qui nous a refait « ma BM » mais là vu le nombre de BMW au sein du moto-club, on ne pouvait pas y échapper.

 Robert s’invente manager et prend soin de son poulain.

 Le répertoire de notre virtuose étant tellement vaste, on a eu droit à d’autres douces mélodies.

Il y eut Caliméro, René et Noël qui eux, toujours debout, nous ont interprété du RENAUD.

Et puis là, surprise générale, un duo de choc, Corinne et Serge, avec du JOHNNY en veux-tu en voilà.

Quant à Valérie et Salvatore, s’aidant des paroles pompées sur internet, faisaient les chœurs.

 Le regard de Marie-Paule en dit long !

 Jean-Michel a tout simplement préféré changer de table pour rejoindre la table d’à côté, des cyclistes et de surcroît lyonnais….

Serge a trouvé la potion magique qui fait pousser les cheveux et en fait profiter René

 Et ça marche, la preuve par image !

Avant de clore cette soirée, notre ami Noël nous interpréta une douce et délicate chanson « ma mère m’a donné cent sous », où l’on devait répéter chaque phrase :
Ma mère m’a donné cent sous – Pour m’acheter des bretelles – J’ai gardé mes cent sous – Pour aller au bordel -
Chemin faisant – J’ai rencontré grand-mère – « Où vas-tu mon enfant ? »  – « Je m’en vais au bordel » - Garde tes cent sous – Je ferai bien l’affaire – J’ai gardé mes cent sous – Et j’ai baisé grand-mère – Chemin rentrant – J’ai rencontré mon père – « D’où viens-tu mon mon enfant ? » -  « Je viens de baiser grand-mère » – « Fils de salaud  – Tu viens de baiser ma mère » – « Salaud toi même – Tu baises bien la mienne »

Et puis fut venu le temps d’aller se coucher, mais pas pour tout le monde, une poignée d’irréductibles gaulois ont préféré aller se dégourdir les jambes dans les ruelles sombres de Die. Par mesure de discrétion, nous ne donnerons pas de noms.

  Andrée prise en flagrant délit !

Le lendemain matin, après un bon petit déjeuner, tout le monde était en forme pour repartir.

Le dortoir de nos bécanes, he oui, elles aussi avaient leur chambre.

Le plein et les courses pour le pique-nique de midi avant de partir.

Après quelques kilomètres tranquillos, nous voici dans la montée du col du ROUSSET, alors là   »faites la bourre, pas la guerre », à fond les gaz, ils m’ont tous doublée, sniff, sniff. Remarquez, ils n’ont rien vu du paysage ces sauvages !

Petite halte tout de même pour admirer notre belle nature.

Arrêt à SAINT-JEAN-EN-ROYAN

Robert a emmené lui aussi sa potion magique et nous en propose. Je lui ai demandé quelles en étaient les vertus, il m’a indiqué qu’il s’agissait d’un breuvage pour doper ceux qui avaient des difficultés pour garder un rythme soutenu. Je comprends mieux l’engouement de Joseph qui du coup proposa une petite boucle supplémentaire pour ceux qui le souhaitaient pendant que les moins courageux nous attendirent sagement à la terrasse du café.

   Une petite rasade pour la route !

Et nous voilà partis pour un petit tour d’une cinquantaine de kms, et oui, moi aussi j’étais de la partie, courageuse la mémère avec son HARLEY !!! Mais non, n’ayant pas pris de potion, je ne me sentais pas le courage de braver tous ces machos, alors je me suis tout simplement glissée sur la selle ultra confortable de la KAWASAKI de notre Jean-Michel et j’ai donc pu prendre quelques clichés en roulant.

Voilà donc ce que l’on a pu apercevoir entre deux nappes de brouillard :

et ce que l’on aurait du voir :

Après avoir rejoint nos compères pépères sur la terrasse, nous repartîmes direction VILLARS DE LANS pour casse-croûter.

Pas le temps de digérer, nos hommes furent appelés à la rescousse de CHANTAL qui eut une malheureuse idée de vouloir prendre un raccourci et qui s’est trouvée en équilibre en voiture sur des marches d’escaliers.

Après des efforts soutenus et une volonté de fer, nos valeureux mousquetaires « un pour tous, tous pour un » sortirent la voiture de cette mauvaise posture. Chantal nous fut extrêmement reconnaissante, n’est-ce pas Jean-Michel ???

Sympas les motards du MOTO CLUB HC

Et puis nous voilà à BOURG-ARGENTAL pour partager un dernier verre avant de se dire au revoir.

Petite précision tout de même, durant ce week-end certaines motos se sont couchées sur le bitume doucement mais surement, et même deux fois pour l’une d’entre elles, ils ne se sont pas vantés les heureux propriétaires et malheureusement je n’étais pas là pour prendre des photos………

Pour conclure, nous pouvons dire que ce fut comme dab un week-end lamentable, avec des gens vraiment pas sympathiques, une ambiance minable et un parcours avec des paysages archi-nuls, voilà c’est dit……….

Bon à quand le prochain week-end ???

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